Jour 7 - 05/03/2010
On est réveillés à 5h50 par les chants de la messe, puis avec une grosse réplique supérieure à 6. On transfère TiCamion près du départ de la piste, au cas où, et bien sûr, on s'embourbe. Deux bœufs nous tirent de là.
Pendant que Babé drague les femmes du campement en les aidant à porter l'eau tirée du puits, Coucoux fait un tour au village pour prendre des photos. Deux villageoises l’accompagnent. Elle grave ensuite les photos et les vidéos sur DVDs en souvenir pour les villageois qui nous ont tant aidés.
Une pelleteuse est arrivée et travaille pendant deux heures, mais le gars refuse de nous tirer. Une niveleuse arrive ensuite et, sous l'insistance de Babé et surtout des hommes du village présent sur place, le conducteur accepte de nous aider. A 15h30, on passe enfin la mauvaise côte. Séance de larmes avec les villageois que nous ne remercierons jamais assez pour leur aide et leur gentillesse. On finit la piste et, enfin !, on retrouve la route.
A Arauco, on se gare près des militaires à cause du couvre-feu (de 18h à 12h) et on se repose.
Tirés par les bœufs :
Las Peñas :
